Au refuge
L’observation de quelques règles simples et un comportement adéquat raviront le gardien et le séjour n’en sera que plus agréable.
A l’arrivée, le piolet et les crampons sont déposés dans le local approprié.
Les chaussures de marche sont ôtées et remplacées par des chaussons puisés dans le stock de la cabane.
Se présenter au gardien. Il montre la place de couchage et indique l’heure du souper.
Une bière dans une main et un crayon dans l’autre, remplir le « Livre de cabane ». Y figure notamment le but de la course du lendemain (important en cas de recherches).
Après le souper, débarrasser la table et proposer de l’aide, par exemple pour faire la vaisselle. Le gardien vous aura « à la bonne » et vous donnera volontiers des renseignements sur la course que vous envisagez de faire.
L’heure du réveil sera décidée en accord avec le gardien. Ne pas oublier de demander du thé de marche pour le lendemain.
Préparer le sac la veille. Au réveil le matin, l’esprit embué, on a tôt fait d’oublier quelque chose.
Dans le dortoir, éviter de circuler avec la lampe frontale fixée sur la tête. Elle sera tenue à la main ou posée. Cela éblouira moins la chambrée. Le silence est également très apprécié. Les manipulations de la quincaillerie et des sachets en papier peuvent être faites en-dehors du dortoir.
Le matin au réveil, penser à ceux qui se lèvent plus tard. Garder le silence, plier les couvertures, prendre ses affaires et descendre.
Pour profiter au mieux d’une nuit remplie de ronflements, j’ai pour habitude de mettre des tampons dans les oreilles
et de prendre un sédatif léger.
Si possible, j’ai plaisir à monter un journal ou du pain frais pour le gardien. Une attention toujours très appréciée.
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